Alimentation

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Septembre 2024 - Cette étude a mesuré le niveau de présence dans le sang, dans les années 1990, de polluants organiques persistants chez les femmes E3N et l’a comparé aux mesures effectuées dans deux études françaises récentes. Les résultats sont encourageants : la plupart des polluants pour lesquels une comparaison était possible ont diminué.
Septembre 2023 - Cette étude E3N analyse l'association entre l’exposition alimentaire à l’acrylamide (une substance chimique qui se forme lors de la cuisson de certains aliments) et le risque de mortalité. Une exposition plus importante à l’acrylamide semble associée à une augmentation du risque de mortalité toute-cause, par maladie cardiovasculaire, par cancer et par cancer du poumon.
Février 2023 - Le régime paléolithique, basé sur l’alimentation supposée de nos ancêtres de la préhistoire, est composé principalement de légumes, fruits, viande maigre, poisson et fruits à coque. Ce régime alimentaire serait-il bénéfique pour la santé et en particulier sur le risque de cancer du sein ? C’est ce qu’ont étudié des chercheurs de l’équipe.
Mars 2023 - Grâce au programme « Cœur de femmes », les chercheurs de l’équipe ont interrogé de manière approfondie les liens entre alimentation et hypertension au sein de la cohorte E3N, présentant plus de 30 000 cas d’hypertension. L’alimentation joue bien un rôle clé sur l’hypertension. Voici un récapitulatif des résultats obtenus.
Mars 2023 - Tous les aliments d’origine végétale n’ayant pas la même qualité nutritionnelle, une nouvelle classification a été développée pour distinguer les aliments d'origine végétale "sains" des "malsains". Des chercheurs de l’équipe E3N ont étudié le risque de développer un cancer du sein selon cette nouvelle classification qualitative des aliments d’origine végétale.
Décembre 2022 – Dans cette étude E3N, les chercheurs de l’équipe Exposome et Hérédité ont évalué l'association entre l'exposition alimentaire aux PBDE, des contaminants ayant des propriétés de perturbateurs endocriniens, et le risque de cancer du sein. Ils ont également regardé si cette association pouvait être modifiée par la consommation d'huile d’origine végétale.
Avril 2021- L’équipe E3N a récemment identifié et décrit les 8 principaux cocktails chimiques auxquels les femmes E3N sont les plus souvent exposées par le biais de leur alimentation.
Juin 2020 - L’étude E3N a interrogé les liens entre un régime alimentaire anti-inflammatoire et antioxydant et le risque de diabète de type 2.
Novembre 2019 - Une émission radiophonique, « La méthode scientifique » animée par Nicolas Martin sur France Culture, a consacré une heure à discuter de sciences nutritionnelles. On y parle de l’étude E3N.
Octobre 2019 - L’étude E3N montre que l’adhésion à une alimentation méditerranéenne est associée, chez les femmes, à une réduction du risque global de cancers cutanés, en particulier de mélanome et de carcinome basocellulaire.
Les compléments alimentaires à base d’isoflavones de soja sont présentés comme des alternatives naturelles au traitement hormonal de la ménopause. Toutefois, leurs effets potentiels sur le risque de cancer du sein restent mal connus.

Lors de la consommation de glucides, le niveau d’insuline augmente, ce qui pourrait affecter le risque de cancer du sein. La consommation de fibres (composés glucidiques) peut également influencer le risque de cancer du sein, une influence qui pourrait varier selon le statut en récepteurs hormonaux du cancer du sein.

Il est aujourd’hui établi que la consommation de viandes rouges (bœuf, porc, agneau) et de charcuteries est associée à un risque accru de développer un cancer colorectal. Le responsable serait le fer contenu dans ces aliments, appelé fer héminique. D’autres éléments de l’alimentation peuvent-ils réduire ce risque ?

Des taux suffisants de vitamine D et de calcium réduisent le risque de cancer du côlon. L’étude EPIC rassemblant 500 000 hommes et femmes en Europe le démontre.

Depuis les premiers travaux américains laissant envisager un effet protecteur du calcium et de la vitamine D sur le risque de cancer colorectal, les études tant expérimentales qu'épidémiologiques se sont multipliées. Les possibilités offertes par une prévention bien acceptée et sans danger par le calcium sont en effet séduisantes. E3N s'est penché sur le sujet.

 

On sait déjà le risque de cancer colorectal augmenté par la consommation de viande rouge et de charcuterie, mais qu’en est-il de l’interaction avec d’autres aliments ? Les chercheurs de l’équipe E3N ont fait le point sur différents régimes alimentaires.

La consommation de viande rouge pourrait augmenter le risque de cancer colorectal ; la consommation de poisson le réduire. Pour le savoir, 478 040 hommes et femmes des 10 pays de la cohorte EPIC dont 1 329 cas de cancer colorectal ont été pris en compte dans une nouvelle analyse.

Les conclusions d'études prospectives menées en Finlande, en Suède et aux États-Unis, ne montrant aucun effet protecteur des fibres, avaient remis en cause les recommandations issues d'études plus anciennes préconisant l'augmentation de la consommation de fibres pour réduire le risque de cancer colorectal.

Une alimentation riche en antioxydants est associée à un risque plus faible de développer un diabète de type 2 dans la cohorte E3N. Ces molécules sont nombreuses dans les fruits, les légumes, le thé, le vin rouge et le chocolat noir.
Nos repas peuvent être définis en fonction de leur équilibre acido-basique.
Notre alimentation est riche en graisses très diverses. Existe-t-il un lien entre les acides gras qui les composent et la survenue de diabète de type 2 ?