Alimentation

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Un volet exploré du questionnaire alimentaire E3N : la consommation de viande, volailles exclues, dans la cohorte.
La consommation de thé, de café et de chicorée de 69 532 femmes de la cohorte E3N a été étudiée. Sur les 59 222 buveuses de café, 61 % buvaient du café au petit déjeuner, 37 % le matin, 71 % au déjeuner, 24 % dans l’après-midi, 15 % au dîner et 6 % le soir.
Ajoutez-vous des sucrettes dans votre thé ou café ? Attention, leur consommation régulière est associée à la survenue du diabète de type 2 dans la cohorte E3N. Ce résultat incite à la modération quant à l'absorption d'édulcorants, présents aussi dans les sodas ''light''.
En 1993, les femmes E3N ont rempli un long questionnaire sur leur alimentation. Grâce à leurs réponses, l'équipe E3N a mis à jour des résultats parfois inattendus : les sodas « light » favoriseraient davantage le diabète que les boissons sucrées.
Les Françaises sont de plus en plus confrontées au risque de cancer du sein. Cette évolution est liée à notre mode de vie. L’alimentation jouerait aussi un rôle. Au Japon, elle serait en partie responsable de la forte augmentation des cas depuis les 50 dernières années, car l’alimentation s’occidentalise. La cohorte E3N a permis d’apporter sa pierre à l’édifice scientifique.
La consommation alimentaire de phyto-estrogènes pourrait avoir des effets sur le risque de cancer du sein. L’équipe E3N s’est penchée sur leur influence potentielle avant et après la ménopause.

Une consommation adéquate de folates semble être importante pour la prévention du cancer du sein. Cependant, l’effet des folates peut être influencé par des facteurs associés à leur métabolisme. L’équipe E3N a cherché à évaluer la consommation de folates en relation avec le risque de cancer du sein et a examiné si son influence pouvait être affectée par d’autres facteurs alimentaires.

Quel rôle jouent les différents types d’acides gras sur le développement du cancer du sein ? En utilisant les échantillons de sang collectés, l’équipe E3N a pu l’analyser.

 

L’alcool est aujourd’hui clairement identifié comme facteur de risque de cancer du sein.

Les femmes dont le taux sanguin de vitamine D est suffisant auraient un risque réduit de développer un cancer du sein par rapport aux femmes carencées. Explications.

L’alcool est aujourd’hui le seul facteur alimentaire reconnu comme influençant le risque de cancer du sein. Mais dans quelles proportions ? Et pour quelles quantités d’alcool ?

Un rhume, un coup de fatigue ? Le recours aux compléments en vitamine C est un geste courant que beaucoup de Français font régulièrement, à des doses parfois importantes. Or, ce geste n’est pas anodin. Les études fournissent des résultats contradictoires concernant les relations entre prise de compléments en vitamine C et risque de cancer du sein.

Nos habitudes alimentaires se sont considérablement modifiées durant les dernières décennies, avec une diminution de la consommation de fruits, légumes et poissons, et une augmentation de la consommation de plats préparés industriellement. L’hypothèse alimentaire a été suggérée pour expliquer l’augmentation de l’asthme dans la plupart des pays industrialisés.

On savait la consommation de fruits et légumes bénéfique pour la santé. Ce bénéfice pourrait également s'étendre à l'asthme chez la femme adulte. L'étude E3N apporte des précisions.

La vaste étude européenne EPIC, incluant 521 330 adultes de 10 pays dont les femmes E3N, a montré que les buveurs de café avaient un risque de mortalité toutes causes confondues moins élevé que les non-buveurs.