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Les Françaises sont de plus en plus confrontées au risque de cancer du sein. Cette évolution est liée à notre mode de vie. L’alimentation jouerait aussi un rôle. Au Japon, elle serait en partie responsable de la forte augmentation des cas depuis les 50 dernières années, car l’alimentation s’occidentalise. La cohorte E3N a permis d’apporter sa pierre à l’édifice scientifique.
La consommation alimentaire de phyto-estrogènes pourrait avoir des effets sur le risque de cancer du sein. L’équipe E3N s’est penchée sur leur influence potentielle avant et après la ménopause.
Quel rôle jouent les différents types d’acides gras sur le développement du cancer du sein ? En utilisant les échantillons de sang collectés, l’équipe E3N a pu l’analyser.

 

L’alcool est aujourd’hui clairement identifié comme facteur de risque de cancer du sein.

Les femmes dont le taux sanguin de vitamine D est suffisant auraient un risque réduit de développer un cancer du sein par rapport aux femmes carencées. Explications.

La vitamine D est essentielle car elle influe sur l’absorption du calcium par l’intestin et sur la minéralisation des os. Elle a deux origines : l’alimentation et l’exposition au soleil. Des compléments alimentaires sont parfois prescrits pour les personnes carencées, notamment pour éviter l’ostéoporose chez les femmes ménopausées.
Le tabac, même passif, augmente le risque de cancer du sein. Le tabac passif c’est le fait d’être exposé à la fumée de cigarettes de son entourage, familial, professionnel ou autre. Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques ont combiné les données d’E3N à celles de cinq autres pays : Allemagne, Danemark, Italie, Norvège et Pays-Bas.

Manger 5 fruits et légumes par jour, bouger son corps, s’abstenir de fumer… Nous connaissons bien ces messages de santé publique. Mais quel est leur impact sur le risque de développer un cancer ? Combien de cancers auraient pu être évités grâce à une meilleure hygiène de vie ?

L’alcool est aujourd’hui le seul facteur alimentaire reconnu comme influençant le risque de cancer du sein. Mais dans quelles proportions ? Et pour quelles quantités d’alcool ?

Un rhume, un coup de fatigue ? Le recours aux compléments en vitamine C est un geste courant que beaucoup de Français font régulièrement, à des doses parfois importantes. Or, ce geste n’est pas anodin. Les études fournissent des résultats contradictoires concernant les relations entre prise de compléments en vitamine C et risque de cancer du sein.

« De 7 % à 41 % de la charge de certains cancers sont attribuables au surpoids et à l’obésité », indique l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il s’avère que la relation entre poids et cancer est complexe et qu’elle ne peut être résumée à une augmentation du risque liée au surpoids. La corpulence selon l’âge et la forme de la silhouette jouent notamment un rôle.
Si le cancer du sein se soigne de mieux en mieux, plus de 54 000 nouveaux cas annuels sont diagnostiqués et le risque de récidive plusieurs années après le traitement existe bel et bien. Sur dix femmes ayant eu un cancer du sein, deux décèderont à cause de leur maladie dans les dix ans. Mais le pronostic est très différent d’une femme à l’autre.

Pour dégraisser et faire briller, les sprays sont bien pratiques. Mais ils ne font pas bon ménage avec les crises d'asthmes.

Depuis quelques décennies, on observe une augmentation de l’asthme dans le monde qui pourrait être due à des changements de facteurs environnementaux. Parmi d'autres facteurs, l’urbanisation, plus particulièrement une moindre exposition aux animaux de ferme durant l’enfance, pourrait être impliquée.

Nos habitudes alimentaires se sont considérablement modifiées durant les dernières décennies, avec une diminution de la consommation de fruits, légumes et poissons, et une augmentation de la consommation de plats préparés industriellement. L’hypothèse alimentaire a été suggérée pour expliquer l’augmentation de l’asthme dans la plupart des pays industrialisés.

On savait la consommation de fruits et légumes bénéfique pour la santé. Ce bénéfice pourrait également s'étendre à l'asthme chez la femme adulte. L'étude E3N apporte des précisions.
L’asthme et la surcharge pondérale sont à la hausse dans nos sociétés industrialisées. Y a-t-il un lien entre ces deux tendances ? Nous avons exploré ces questions à partir des données E3N.

La vaste étude européenne EPIC, incluant 521 330 adultes de 10 pays dont les femmes E3N, a montré que les buveurs de café avaient un risque de mortalité toutes causes confondues moins élevé que les non-buveurs.